La chambre constitue un espace de confort et de repos requérant une atmosphère cocon, douce, et agréable. L'éclairage participe à la création de cette ambiance et doit être pensé selon deux aspects : faciliter l'endormissement et autoriser les différentes activités de la journée. Entre lumière tamisée et éclairage plus vif, il n'y a pas forcément besoin de choisir…
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Erreur classique n°1 : sous-éclairer la pièce
Éclairage modéré ne signifie pas forcément qu'il faille se limiter à deux lampes de chevet, une de chaque côté du lit. Car dans sa chambre, on s'habille, on lit, on travaille à son bureau et d'autres sources d'éclairage s'avèrent alors nécessaires. Pour un éclairage optimal, on dispose plusieurs points lumineux dans l'espace pour le structurer. Grâce à des suspensions, des lampadaires ou des appliques, on module l'intensité lumineuse de chaque coin de pièce. S'il n'y a qu'un seul luminaire dans la chambre, l'œil se focalise dessus alors qu’avec une lumière plus diffuse, il fera le point à l'infini avec tous ses repères, ce qui apportera un meilleur confort visuel.
Erreur classique n°2 : des lampes de chevet pas suffisamment surélevées
La lampe de chevet ne se pose pas n'importe où : son emplacement dépend de la hauteur du lit et de la table de chevet. Si vous avez l'habitude de lire avant de vous coucher, son abat-jour doit se trouver à hauteur de vos yeux. Pour ne pas suivre les traditions et ajouter sa petite note perso, on peut opter pour des abat-jours extra-larges, un pied de lampe qui sert aussi de vide-poche ou encore une lampe connectée. Attention toutefois aux ondes émises. Les appliques intégrées à la tête de lit présentent l'avantage d'être suffisamment douces pour être allumées le matin sans éblouir trop violemment. Les abat-jours opaques n'ont pas leur place dans la chambre, puisque le rôle de la lampe est de diffuser la lumière, et non de la « masquer ».