Aller au contenu 
Te rappelles-tu enfant comme tu aimais jouer avec ces petites pièces, les assembler, les détruire, pour recréer derrière ?
Afficher le sommaire Masquer le sommaire
- Te souviens-tu à quel point tu avais adoré monter une tour avec tes tous premiers légo ?
- Maintenant adultes, nous avons ces barrières qui nous empêchent de saisir cette innocence particulière qui caractérise l’enfance, nous sommes responsables, pour ne pas dire autre chose.
- Et si j’avais un conseil à te donner : la vie est courte, elle peut être parfois difficile, mais si tu y mets un peu de magie, alors ta vie sera plus belle, plus étincelante et tu verras, tu auras au fond de toi, ces yeux qui pétillent comme tous ces enfants qui découvrent leurs cadeaux de noël sous le sapin au matin du 25 décembre.
Te souviens-tu à quel point tu avais adoré monter une tour avec tes tous premiers légo ?
Peut-être as-tu oublié ce que tu ressentais enfant lorsque tu t’imaginais être le pirate ou la princesse voulant sauver les petits lutins tes amis ? Peut-être as-tu perdu cette folle imagination qui te faisait partir dans des fantasmes de folies ?
Mais une chose est sûre c’est que chacun de nous, enfants, avons connu ce plaisir de jouer, et de laisser libre court à notre imagination.
Nous savions créer sans aucune inhibition, nous savions inventer une histoire en partant d’un rien.
Maintenant adultes, nous avons ces barrières qui nous empêchent de saisir cette innocence particulière qui caractérise l’enfance, nous sommes responsables, pour ne pas dire autre chose.
Seuls les artistes se permettent de créer et d’inventer de toutes pièces une situation, une histoire, un bijou, un art, en partant de rien. Parce qu’ils aiment imaginer, ils aiment créer, fantasmer, et rêver.
Alors quand je regarde cette vidéo buzz sur les jouets Légo, sur cette blague que font les enfants à leur mamie, je suis amusée et imagine moi aussi comment pourrait se terminer l’histoire.
Je ferme les yeux, remets en scène leur situation et je me marre toute seule dans mon coin en me promettant une chose : garder en moi cette enfant qui s’émerveille devant tout ce qu’elle peut voir.
Tu pourras me prendre pour une dingue (et de toi à moi tu auras sûrement raison), mais que c’est bon de mettre du rêve dans sa vie, de garder une pointe de naïveté, une parcelle d’innocence dans son cœur.
Et si j’avais un conseil à te donner : la vie est courte, elle peut être parfois difficile, mais si tu y mets un peu de magie, alors ta vie sera plus belle, plus étincelante et tu verras, tu auras au fond de toi, ces yeux qui pétillent comme tous ces enfants qui découvrent leurs cadeaux de noël sous le sapin au matin du 25 décembre.
Emilie Daffis
