Malheureusement, les aléas du quotidien entraînent parfois une rupture amoureuse. Lorsque les couples ont une union simple, la séparation n’est pas très complexe, mais, dans le cas d’un mariage, la situation est relativement plus difficile.
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Le divorce à l’amiable sera beaucoup plus simple dès le 1er Janvier
Il est parfois très complexe de se retrouver face à cette réalité, le couple n’existe plus, il est même nuisible pour le bien-être de chacun des partenaires. Lorsque des enfants sont au cœur des disputes, il est l’heure de prendre une décision importante. L’objectif premier consiste à reprendre une route solitaire en pensant au bonheur de tous les membres de la famille. Le divorce à l’amiable représente une solution relativement attractive. Cela sera également valable en 2017, car un changement primordial sera identifié le 1er Janvier. Les couples qui souhaitent se séparer ne seront plus contraints de se rendre au tribunal. Cette mesure a la possibilité de faciliter les échanges et de supprimer quelques démarches.
Un consentement mutuel très simple à réaliser avec un notaire
Les partenaires qui souhaitent divorcer devront seulement se rendre chez le notaire. Il est tout de même conseillé de faire appel à un avocat gratuit notamment pour connaître les droits de chacun. S’il y a un patrimoine en commun ainsi que des enfants, il est toujours très intéressant d’avoir un avis extérieur totalement transparent pour vous guider. Dans tous les cas, cette mesure a un objectif défini qui consiste à réduire l’affluence dans les tribunaux. Les ex-époux devront seulement effectuer un consentement mutuel pour cette séparation. Le fonctionnement sera donc extrêmement simple puisque vous pourrez discuter avec votre ancien partenaire sur cette convention à appliquer. Si celle-ci répond aux besoins de chacun, ils pourront la signer.
54 % des divorces optent généralement pour le consentement à l’amiable
Un délai de rétractation de 15 jours sera valable et, lorsqu’il sera écoulé, le divorce à l’amiable sera validé. Par conséquent, le juge des affaires familiales ne sera plus contraint de se pencher sur ce dossier. Toutefois, ce consentement mutuel est possible uniquement pour les partenaires qui ont toujours une belle entente. Dans le cas contraire, il est difficile d’imaginer une ambiance très réjouissante pour la séparation. Près de 54 % des divorces ont été effectués via cette méthode selon une étude réalisée par l’Insee. Cette simplification pourrait donc permettre à tous les tribunaux engorgés de respirer.