Si la chirurgie esthétique peut aider à se sentir mieux dans sa peau, on entend plus facilement parler de ses échecs et de ses inconvénients que de ses réussites et du soulagement qu'elle peut apporter à des gens en souffrance. Afin de faire le meilleur choix possible pour ses propres besoins, il est vivement conseillé de bien s'informer. Et de se poser les bonnes questions pour ne pas avoir de regrets.
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Pourquoi se faire opérer ?
L'envie d'avoir recours à la chirurgie esthétique peut cacher un complexe, une gêne : des seins jugés trop petits, une calvitie précoce, un nez trouvé proéminent… Une introspection peut être intéressante à mener, pour savoir si c'est le besoin de plaire qui domine, ou l'impossibilité de répondre au diktat du physique parfait qui mine. Les patients recherchent aussi à s'élever, à pouvoir se présenter aux autres de manière plus harmonieuse. Les chirurgiens expérimentés accordent en général du temps à la discussion avec les personnes qu'il reçoit dans son cabinet, afin de s'assurer des fondements sérieux de la demande. Certains endroits regroupent diverses professions, comme les esthéticiennes, les énergéticiennes ou encore les coiffeuses, et proposent à leurs patients des services complémentaires pour opérer (c'est le cas de le dire !) un changement de vie pérenne.
Comment choisir son chirurgien ?
Le bouche-à-oreille représente un des moyens les plus fiables pour bien choisir son médecin. Le conseil national de l'ordre des médecins reste une solution simple et sûre. Internet donne également accès à de nombreuses cliniques, en France et ailleurs. Lorsque le site met en avant sa disposition pour répondre aux questions, il ne faut pas hésiter à parler de ses craintes, de ses attentes ou de ses limites de budget. Le plus important est de se sentir en confiance, ou, mieux, d'être mis en confiance, par des personnes comprenant tout l'enjeu de l'opération désirée. Et pourquoi ne pas combiner les méthodes ? Repérer les professionnels sur le web et contacter le conseil national de l'ordre des médecins peut être un bon compromis.