Certaines professions peuvent s’avérer très complexes à gérer surtout pendant une grossesse. Il est donc judicieux de se renseigner au préalable concernant les droits surtout si vous êtes une femme médecin. Vous serez ainsi à l’abri des mauvaises surprises.
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Une femme médecin doit déclarer sa grossesse auprès de la CPAM
Comme c’est le cas pour toutes les autres professions, il y a des conditions qui sont à respecter. Une femme médecin enceinte devra se renseigner qu’elle soit du secteur 1, remplaçante ou collaboratrice. Il sera judicieux de se rendre dans une CPAM avec une adresse professionnelle, cela permettra de déclencher la procédure puisqu’il sera nécessaire de remplir un formulaire. Ce dernier vous donnera la possibilité de jouir d’une affiliation au régime PAMC.
Une allocation forfaitaire sera divisée en deux dans le cas d’une grossesse
Dans le cas d’un congé maternité, l’allocation forfaitaire disponible est de l’ordre de 3269 euros. La somme ne sera toutefois pas versée en une seule fois dès la déclaration de la grossesse. En effet, si vous êtes une femme médecin, vous obtiendrez la moitié lorsque vous aurez atteint le 7e mois puis le reste sera à votre disposition après l’accouchement. Sachez qu’il est également envisageable d’obtenir cette somme d’argent si vous adoptez un enfant. Dans ce cas de figure, le montant sera divisé par deux.
Un certificat médical devra être fourni pour justifier l’arrêt de travail
Vous percevrez aussi des indemnités journalières forfaitaires. Une cessation d’activité devra être identifiée au minimum deux semaines avant la naissance de l’enfant pour un minimum de deux mois. Il sera bien sûr nécessaire de fournir un certificat médical qui justifie l’arrêt de travail selon une durée établie au préalable. Quelques informations supplémentaires seront à connaître en fonction de votre grossesse, car le délai ne sera pas le même si vous attendez des jumeaux par exemple.